On ne choisit pas au hasard de se glisser dans la peau du célèbre Polichinelle... Embrassant, en un discours résolument « polyglotte » des musiques d’hier, d’aujourd’hui, d’ici et d’ailleurs, Pulcinella donne à entendre une musique populaire, riche, vivante. D’un geste théâtral le groupe se met en scène et crée une atmosphère proche de celle de l’univers des contes. Il emprunte au cirque le goût des prouesses, au polar le sens de l’intrigue, à la fantaisie... la fantaisie.
Pulcinella pratique un mélange festif, baroque, corrosif,...
du jazz délocalisé ...
dans la mouvance des Sacre du Tympan, Emir Kusturica, Astor Piazzolla, Campagnie des Musiques à Ouïr, Workshop de Lyon,...
S’appuyant sur une instrumentation atypique, le groupe séduit un public dépassant largement les frontières du jazz.
Réuni fin 2004 à Toulouse par le saxophoniste Ferdinand Doumerc, Pulcinella multiplie les concerts, promène sa musique iconoclaste de Toulouse à Paris, de Brest à Agadir, de Bayonne à Bucarest, de Genève à Saint-Louis du Sénégal, de Rome à Odessa,...Son album « Clou d’estrade », sorti en mars 08, est signé par Yolk Records, le label d’Alban Darche, véritable pépinière pour le jazz français alternatif.
Distribution
- Direction Musicale, saxophones, flûtes, métallophone : Ferdinand Doumerc
- Batterie, percussions, glockenspiel, mélodica : Frédéric Cavallin
- Accordéon : Florian Demonsant
- Contrebasse : Jean-Marc Serpin
En collaboration avec le Lieu Commun
Presse
« [...] Fantaisie poétique et démonstrative, se baladant aux frontières d’un univers étrange et bastringue, la musique de ces drôles de polichinelles nous entraîne dans une sorte de joyeuse sorcellerie douce et barbare [...] » Jean Marc Gelin, Jazzman
« [...] Omnivore et fantasque, le quartet Pulcinella joue avec le jazz plus qu’il n’en joue [...]. Les Balkans, l’Argentine, l’Inde, ou le punk viennent nourrir un soubassement rythmique mobile. Le tout est plein d’imagination, d’allant et de verve [...] » Denis-Constant Martin, Politis
« [...] Les membres de ce groupe étonnant sont tous d’excellents instrumentistes, et composent et/ou arrangent avec une grande technicité mais jamais au détriment de la lisibilité, lumineuse, de leurs thèmes et solos. Quelques pincées de mise en scène théâtralisée et drôle boostent leur relation directe et forte avec les auditeurs (de tous âges et de toutes obédiences). » Pierre-Henri Ardonceau, Jazz Magazine
« [...] Envoûtant, surprenant, déroutant, autant de mots pouvant qualifier Pulcinella [...]. Ca explose d’originalité et de créativité [...] La Dépêche
« [...] Pulcinella excelle dans les mariages réussis entre accordéon plaintif et batterie rebelle, ainsi que dans les Pacs audacieux entre sax langoureux, flûte à coulisse et accordéon chromatique [...] » Jean Jacques Rebours, Ouest France
« [...] Avec un sens du théâtre et de la farce, le quartet Pulcinella joue une musique de la métamorphose et du travestissement où verve mélodique et bric-à-brac de bruits se marient pour le meilleur [..] Nathalie Bru, La Nouvelle République
« [...] Hervé Suhubiette et Pulcinella ont su relever le défi d’une relecture des chansons du « jongleur de mots et cracheur de swing » qu’était Claude Nougaro (..), et recréer toute la magie de l’univers du poète.» Sud-Ouest
«[...] Une alchimie troublante, une fougue musicale volontaire et une créativité incroyable [...] » World
« [...] Arrangements subtils, belle écriture, orchestration habile, grande attention portée aux interventions solistes font la qualité du travail de Pulcinella, et l’accueil formidable que leur réserve le public confirme. [...] » Philippe Méziat, Jazz Magazine
«[...] Toujours à la limite de la démesure et de la décadence, entre contes de fées et cauchemars, ces musiciens ont livré des sons uniques, éraillés, et mélancoliques [...].»Inès Meghasli, La Montagne
«[...] Pulcinella a proposé un jazz plus festif et enthousiaste, créatif et populaire [...] » Le Progrès
« [...] Les titres des morceaux sont aussi facétieux que le quartet sur scène ; la qualité de la réalisation musicale est impeccable, la batterie cavale, la basse pilonne, les saxophones s’enroulent et se déchirent [...] » Citizen Jazz
« [...] Malgré le boucan que font ces quatre sales gosses multi-instrumentistes (qui déchirent les bons points d’un jazz attendu), ils gagnent des images colorées musette- free-groove grâce à de très bonnes notes en narration [...] » Lylo