
Duo complice du précédent et déjà riche A woman's Journey, Madeleine & Salomon approfondit encore cet exercice d’affinités à fleur de peau, ce vibrant accord qui semble nourrir du moindre regard et de la moindre suspension leur échange magique. Cela donne à leurs chansons, pour ce nouveau spectacle et album, Eastern Spring, salué par la critique, une puissante émotion. Un hommage à la pop orientale et militante des années 1960-1970, des chansons d’amour, de vie et de mort qu’ils restaurent, ravivent avec leur minimalisme doux et envoûtant, et leurs propres compositions qui, sans en perdre l’essence et l’essentielle délicatesse orientale, démultiplient les histoires que charrient les compositions originaires du Liban, d’Iran, d’Israël, de Turquie, du Maroc, d’Égypte. Des chansons engagées, rêveuses ou romantiques, toutes porteuses des questionnements sociaux ou spirituels qui aujourd’hui encore résonnent à travers le monde.
Distribution
- Voix, flûte, Fx : Clotilde Rullaud
- Piano, voix : Alexandre Saada
Presse
Une voix, un piano et beaucoup, beaucoup d’émotion. D’où naît-elle ? De l’entière sincérité nichée dans la voix bouleversante de Clotilde Rullaud (Madeleine) et le jeu à l’unisson d’Alexandre Saada (Salomon), bien sûr. (…) Ce cœur double qui bat si vivement et se brûle à la grande passion de l’Orient, impossible de ne pas l’accueillir : un bijou que ce disque.
Louis-Julien Nicolaou - TELERAMA & TELERAMA SORTIR - TTTT
Une poésie impressionniste. [...] Un disque essentiel en ces temps de guerres et de répressions exercées contre les humains osant réclamer une société plus libre.
Catherine Carette - FIP
Un rêve éveillé, fragile et intime. Une vraie réussite !
TSF
La même ferveur [...] dans la voix, mais aussi au piano qui soutient le texte avec autant d'entrain que de délicatesse.
Jean-Jacques Birgé - MEDIAPART
D’une voix puissamment travaillée, d’un piano impressionnant d’impressionnisme, ils rapportent des chants, des thèmes, des hits venus d’Iran, d’Egypte, de Turquie, du Liban, d’Israël et les adressent à nos oreilles déconditionnées. Car il n’est rien de plus beau que d’écouter Matar Naem, poème de l’immensurable Mahmoud Darwich, hymne protestataire du groupe Ferkat Al-Ard que ce duo unique rend enfin à la totalité du monde.
Guy Darol - JAZZ MAGAZINE
En partenariat avec Souillac en Jazz
© Alexandre Saada