Attention, le concert aura lieu au Palais des Congrès, Souillac.
Paul Lay, le passionné, s’est attelé dans ce solo à développer au piano de nouvelles formes à partir d’incontournables de Beethoven, de La Lettre à Élise à l’Hymne à la joie, en passant par la Symphonie n°7. Un challenge taillé pour ce grand jazzman. Il est jubilatoire de le voir embrasser la puissance des formes de ce compositeur dont chaque pièce se tient magistralement, et y ouvrir si génialement de nouveaux espaces d’improvisation. Recréer, avec élégance et malice, tout en conservant l’esprit de l’œuvre initiale, le rythme, les mélodies entêtantes, les ruptures, le silence et surtout, le Mystère. Paul Lay saute à travers les temps. Laissez-vous emporter par cette merveille musicale.
Comme l’avance le fameux musicien et chroniqueur Laurent de Wilde, « Paul Lay est un Marvel du piano. Un super héros des 88 touches, les pliant sous ses doigts à sa volonté. »
Presse
Paul Lay est le plus brillant pianiste de jazz de sa génération.
Francis Marmande, Le Monde