Le commandant Washizu, à qui un esprit a prédit qu'il deviendrait le seigneur du château de l'araignée, est influencé par sa femme pour que la prophétie se réalise.
Kurosawa transpose Macbeth dans le Japon féodal et réussit l'union parfaite des deux cultures européenne et japonaise. Si les images d'un noir et blanc aux allures expressionnistes évoquent invariablement le cinéma allemand des années 1920, c'est aux codes du théâtre Nō que Kurosawa emprunte l'épure des décors minimalistes.
En partenariat avec la MDA-Cinéma de Saint-Céré.